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les carnets de SoM
20 juin 2016

Vous deux

Et quand cette immense chaleur

cessera d’inonder d’amour

chaque millimètre carré

de ma maison,

 

lorsque vous quitteriez les lieux,

et vous me diriez au revoir,

 

il restera l’implacable sensation de flamme intérieure

qu’oxygène chaque cellule en moi ;

 

                l’amour si constant et apaisant

                de mes deux magnifiques enfants.

 

                                              33   20160209_100054

 

 

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  • Partage de poésie contemporain autour de l'œuvre de SoM. En prose ou en vers et parfois de travers - réaliste ou dadaïste - haïku ou haché - ce blog est l'ouverture de sens et de sentiment - souvent renfermés en nous.
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